Pour le 1er avril #ReLIRE montre son vrai visage

Ce billet est un billet d’humeur, un de plus sur l’affaire #ReLIRE. Je profite de cette journée du 1er avril pour tourner en dérision le dispositif ReLIRE.

Poisson d'avril ?
Poisson d’avril ?

Toutefois, vous trouverez de très bons articles de fond qui traitent de cette question :

 

Un peu de politique-fiction pour conclure ce 1er avril

Quel rôle vont ou peuvent avoir les bibliothèques dans cette affaire ?  Plus précisément, les bibliothèques se rendront-elles coupables de complicité de vol ? Imaginons que des établissements proposent des livres numériques  à ses lecteurs. Des titres qualifiés d’indisponibles, numérisés puis revendus par les éditeurs. Les bibliothèques contraintes d’acheter des bouquets d’ebooks proposeraient, parmi leur pack de livres numériques, des œuvres indisponibles recommercialisées dans le cadre du dispositif ReLIRE. Cela constituerait une arnaque supplémentaire. Les éditeurs vendraient ainsi des œuvres volées aux auteurs à prix d’or chargées de DRM aux bibliothèques (et après ça, on critique la Copy Party…). Ceci n’est qu’une vision apocalyptique de l’avenir mais qui est tout à fait envisageable.

Mauvaise blague.

3 commentaires à propos de “Pour le 1er avril #ReLIRE montre son vrai visage”

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